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La Principauté
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Leclerc veut repartir du bon pied

25/5/2023

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Crédit photo : Scuderia Ferrari.

Déjà largué au championnat par un Max Verstappen en état de grâce en ce début de saison 2023, Charles Leclerc aborde son Grand Prix à domicile avec un esprit revanchard et l’ambition de redorer un statut quelque peu écorné par ses deux erreurs de Miami.

En quatre saisons disputées à Maranello, jamais il n’avait affiché de bilan aussi famélique à l’aube du cinquième Grand Prix de l’année. Présenté, à juste titre, comme l’un des favoris à la couronne mondiale 2023 au moment d’aborder la manche inaugurale de Bahreïn, Charles Leclerc a depuis sérieusement dû revoir ses ambitions à la baisse la faute à une entame de championnat particulièrement décevante. Coupable à deux reprises (en Australie lors de son accrochage avec Stroll et à Miami lors de son tête-à-queue en qualification. Ndlr) de grossières erreurs ayant sérieusement condamné ses chances de briller en course, le pilote Ferrari a également payé le manque de fiabilité (perte de puissance moteur à Bahreïn, changement d’un composant électronique à Djeddah. Ndlr) d’une SF-23 non seulement capricieuse, mais également larguée par les Red Bull sur le plan de la performance pure.
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« On a connu un début de saison assez compliqué, reconnaît l’enfant prodige de la Principauté lors d’une conférence de presse virtuelle organisée en marge du Grand Prix de Monaco. Il y a d’abord eu le problème mécanique de Bahreïn, puis la pénalité de Djeddah et enfin le crash avec Lance (Stroll. Ndlr) en Australie. Ces premières courses nous ont coûté énormément de points et depuis on court un peu derrière ce retard. Ce n’est clairement pas l’entame de championnat que l’on espérait, mais la saison est encore longue. Il faut savoir garder la tête haute dans ces moments-là et faire en sorte que tout le monde soit bien motivé, car on a énormément de courses à disputer. Tout reste encore à jouer. » Déjà distancé au classement du championnat pilotes par un Max Verstappen en mode rouleur compresseur en ce début d’exercice 2023 (il compte 34 points au compteur soit 85 unités de moins que le Néerlandais. Ndlr), le Monégasque veut profiter de son rendez-vous à domicile pour réenclencher une spirale positive et effacer les récentes bévues de Miami.

« Clairement pas dans la même situation qu'il y a un an »

Conscient de ne pas s’être montré à la hauteur de son statut de vice-champion du monde dans le Sud-Est de la Floride (il a commis deux sorties de piste à Miami dont l’une lors de la séance qualificative. Ndlr), le leader de la Scuderia entend s’appuyer sa bonne performance de Bakou (il avait signé deux pole positions en qualification avant de décrocher une troisième place le dimanche en course derrière les imbattables Red Bull. Ndlr) pour rebondir dans les rues de sa Principauté natale et enfin lancer un exercice 2023 qui n’aura pour l’instant répondu ni à ses attentes ni à celles de son nouveau boss Frédéric Vasseur. Toujours à l’aise sur son circuit fétiche (il reste sur deux pole positions consécutives en Principauté. Ndlr), le natif de Monaco sait toutefois qui lui faudra se surpasser cette année pour espérer réussir une passe trois que seuls les grands Niki Lauda (trois poles d’affilée entre 1974 et 1976. Ndlr) et Ayrton Senna (quatre poles consécutives entre 1988 et 1991. Ndlr) ont réalisé avant lui.
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« On n’est clairement pas dans la même situation qu’il y a un an où on avait une voiture très rapide et constante sur tous les types de circuits, déplore le champion 2017 de Formule 2 lors d’une conférence de presse virtuelle organisée en marge de la manche princière. Aston Martin a effectué un gros pas en avant cette année. Et Red Bull évolue sur une autre planète notamment en course. De notre côté, on a une machine trop pointue cette saison. On dépend donc énormément des conditions. Dès qu’il y a un changement de vent ou de température, on se retrouve tout de suite en dehors de la fenêtre d’exploitation optimale de l’auto. Du coup on perd énormément de performance par rapport aux autres. Mais comme on l’a vu à Bakou, notre voiture fonctionne plutôt bien dans les virages lents. Si on parvient à décrocher la pole en qualification, alors on aura toutes nos chances pour dimanche. »

Andrea Noviello

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