• EN KIOSQUE
  • DERNIERE MINUTE !
  • Qui Sommes Nous
    • Notre Publication
  • Chiffres de Diffusion
    • En bref...
  • Tarifs publicitaires
    • Ordre d'Insertion
  • Abonnez Vous
  • Nous contacter
  • INTERVIEWS
  • VOIR PDF EN LIGNE
  • EXCLUSIF !
  • FLASH INFO
La Principauté
© 2025 Global Media Associates

Course : Leclerc la troisième c’est la bonne

26/5/2024

0 Commentaires

 
Image
Crédit photo : Scuderia Ferrari.

Parti depuis la position de pointe sur la grille de départ pour la troisième fois à domicile, Charles Leclerc est enfin parvenu à convertir sa pole en victoire ce dimanche lors du Grand Prix de Monaco de Formule 1. Vainqueur d’une course où la gestion des gommes a prévalu quasiment de bout en bout, le pilote Ferrari s’est imposé avec brio devant la McLaren d’Oscar Piastri (2e) et la monoplace sœur de Carlos Sainz (3e). 

Ses deux premières tentatives s’étaient soldées par des échecs retentissants. Qualifié à deux reprises en pole position à domicile avant cette édition 2024, Charles Leclerc avait vu les éléments contraires se liguer contre lui pour l’empêcher de faire retentir l’hymne monégasque le jour de la course. En 2021, une erreur dans son dernier tour chronométré en Q3 et une monoplace mortellement blessée par le crash contre le rail de la Piscine l’avait empêché de prendre le départ d’une course dont il se présentait comme le légitime favori. En 2022, c’est cette fois l’irruption de la pluie en début d’épreuve conjuguée à une stratégie clownesque de la Scuderia Ferrari qui l’avait privé des joies d’un succès à la maison. Soucieux de ne pas voir le scénario se répéter une troisième fois dans son jardin princier, l’enfant du pays a, cette fois, mis toutes les chances de son côté pour ramener sa SF-24 en première position sous le drapeau à damier.
​
Parfait lors des deux envols qu’il a eu à négocier (la course a été arrêtée après le premier départ à la suite d’un énorme crash impliquant la Red Bull de Sergio Perez ainsi que les deux Haas de Kevin Magnussen et de Nico Hülkenberg. Ndlr), le Monégasque a ensuite ménagé ses gommes dures avec le plus grand soin, ne laissant à son dauphin Oscar Piastri pas le moindre espoir de venir gâcher la fête devant ses nombreux compatriotes. « Aucun mot ne peut exprimer ce que je ressens, déclare le vainqueur du jour à sa descente de voiture. C’est une course si difficile. Je pense que le fait de m’être élancé à deux reprises depuis la pole position et de ne pas avoir réussi à les convertir rend ce succès encore meilleur. Cela signifie tellement pour moi. Monaco, c’est la course qui m’a donné ce rêve de devenir pilote de Formule 1 un jour. Je dois reconnaître que j’ai beaucoup pensé à mon père en pilotant, bien plus que je ne l’aurais imaginé. Courir et gagner ici, c’était un rêve que l’on avait en commun. »

« Une sensation vraiment spéciale »  

Premier monégasque à triompher dans les rues de la Principauté depuis son illustre prédécesseur Louis Chiron en 1931 (l’épreuve n’entrait pas encore dans le cadre du championnat du monde. Ndlr), Charles Leclerc a décroché sur ses terres la sixième victoire de sa carrière en F1, devançant sur la ligne d’arrivée la McLaren d’Oscar Piastri (2e) et la monoplace jumelle de Carlos Sainz (3e). Vainqueur pour la toute première fois dans une saison 2024 où il n’avait jusque-là enregistré que des places d’honneur, le fer de lance de l’écurie basée à Maranello a par la même occasion consolidé sa deuxième place (138 points. Ndlr) au championnat pilotes, revenant à la faveur de ce succès princier à 31 longueurs du toujours confortable leader du classement Max Verstappen (169 points. Ndlr). De retour sur la plus haute marche du podium après quasiment deux ans d’attente (son dernier succès remontait au Grand Prix d’Autriche 2022. Ndlr), le pilote flanqué du numéro 16 a vécu un dimanche après-midi sous tension et au cours duquel il a constamment dû réfréner son tempérament d’attaquant.
​
Contraint dès le départ, le deuxième, de rouler à une cadence de sénateur (les pilotes tournaient dans des chronos dix secondes plus lents que ceux des qualifications lors des premiers tours de course. Ndlr) afin de protéger des gommes dures qu’il devait amener jusqu’au terme de ce huitième rendez-vous de la saison, le protégé de Nicolas Todt a ainsi dû patienter jusqu’à la toute fin de course pour enfin lâcher les chevaux et se prémunir définitivement de la menace d’un Oscar Piastri resté dans le sillage du natif de Monaco pendant soixante-dix et soixante-dix-huit tours qui composaient ce Grand Prix de Monaco. « C’était difficile, reconnaît le leader de la Scuderia en interview d’après course. Je pensais que nous avions beaucoup de marge au début, mais nous savions aussi que nous devions couvrir 78 tours avec les mêmes pneumatiques. Nous avons bien géré nos gommes et dans les dix derniers tours j’ai pu attaquer un peu plus. J’aimerais remercier l’équipe de l’incroyable travail qu’elle réalisé ces derniers mois. M’offrir l’opportunité d’enfin gagner cette course est une sensation vraiment spéciale. »

Andrea Noviello

0 Commentaires



Laisser un réponse.

Home

About

Services

Menu

Nous contacter

Copyright Global Media Associates Sas © 2025 - Tous droits réservés